Aussitôt ma phrase terminée, que je fus comme emmenée ailleurs, comme quand on rêve les yeux grands ouverts ... Il y avait une douce chaleur dans la première seconde. Mais ensuite, une vision ... de panique, de stress. Derrière, les chiens qui étaient presque enragés. Ensuite, ... Pleureur. A la vue de son regard dans ce si petit terrier, je sentais que je devais expressément partir. Je sentais le danger me dechirer l'échine par la peur.
Soudain, je repris mon souffle, retrouvant ce rocher illuminé avec le loup qui le dominait. J'étais complètement perdue dans ses iris argentés qui ornaient son regard, qui malgré cela semblait empreint de tristesse. La seule chose que je pouvais faire était de m'asseoir sous le poids de cette "révélation", pouffant a cause de la fatigue transmise par cette vision. Je pouvais bientôt sentir des sueurs froides depuis ma nuque jusqu'au bout de mes extrémités.
"- P - p .... p ..." Essayais-je de prononcer son nom, sans grand succès ...