Il y a de
cella cela ("cela" ne prend qu'un L) des année
s un louveteau prénommé le petit Lutin aimait apporter de la joie
a à ceux qui l'entouraient, d’où son surnom.
Proposition de reformulation de la phrase : Il y a de cela des années vivait un louveteau prénommé le petit Lutin qui aimait apporter de la joie à ceux qui l'entouraient, d'où son surnom.Il était marron aux craquelures bleu ciel. Lorsqu'il neigeait et que de petit
s flocons
se posèrent se posaient (ou se déposaient) (il faut conjuguer le verbe à l'imparfait car c'est une description) sur son poil bleuté
Il il ressemblais ressemblait au ciel étoilé de ces longues nuit
s d'hiver.
Proposition de reformulation de la première phrase : Son pelage était marron (synonyme : "brun", qui convient plus pour décrire les cheveux, poils, pelages etc...) aux craquelures bleu ciel.Une nuit il rencontra une jeune louve, Yiona était son nom. Elle était fine et élégante
, portant un
jolie joli kimono d'un violet pastel. Un
contacte contact de truffe
s suffit entre ces deux petits pour qu'ils deviennent inséparable
s. Mais au jour levant Yiona dit qu'elle
dut devait partir et laissa ainsi notre petit Lutin.
Chaque nuit ils se virent. Il ne savait rien d'elle, mais cela
comptais comptait peu. Gambadant dans la neige, courant et sautant, rigolant dans le froid qui devenait si plaisant
. Ils, ils jouèrent jusqu'aux matins et juste avant les premiers rayons de soleil Yiona s'en alla
it.
Arriva une nuit ou le ciel
étais était particulièrement
claire clair et empli d'étoiles les unes scintillant plus que les autres. Yiona avoua à notre cher lutin qu'elle
vivais vivait dans la neige et
n'avais n'avait pas vraiment de famille ou d'amis. Notre petit s'étonna mais promit à la belle Yiona qu'elle ne sera
it plus jamais seule et qu'il serait
la là pour elle. Elle lui dit
qu'il était que c'était (j'imagine que tu as voulu dire ça, sinon le sens n'est pas bon et Yiona dit au petit Lutin qu'il est insupportable... ) totalement impossible… Cette
nuit la nuit-làelle lui offrit une peluche dont la fourrure ressembla
it aà celle du Lutin et au ciel parsemé d'étoiles. Elle en
détenais détenait une totalement identique. Elle le regarda dans les yeux... Malgré leurs jeunes âges les sentiments et émotions était
grandes grands… Le vent se leva… La neige se
mise mit aà virevolter... Yiona avait un regard de plus en plus triste comme si elle
retenaisretenaitses larmes… Le
vents vent se fit de plus en plus fort… La neige rendit le champ de vision très petit
"étroit" convient mieux ici je pense ^^.
– Esmerald…
Yiona
disparue disparut pratiquement dans la neige
–… j'aimais jouer avec toi… Merci…
Notre Lutin fut pris de désespoir
, comprenant ce qui se passait
, et il
ce se mit
a à hurler le nom de sa belle…
-YIONAAA YIONAAAAAAAAA- (Je pense que cette parole n'est pas nécessaire ici étant donné que tu dis qu'il hurle son nom, cela suffit à imaginer) en
vin vain... La tempête
étais était devenu
e énorme, il lui était
devenue devenu impossible de voir plus loin que sa truffe. Il s'effondra dans la neige
, la tempête faisait rage et, pour la première fois, il senti
t à quel point il faisait froid
... – Yiona… souffla-t-il faiblement.
Proposition de reformulation de l'avant-dernière phrase afin d'éviter la répétition du participe passé "devenu/e" : La tempête avait beaucoup gagné en force, il lui était devenu impossible de voir plus loin que sa truffe.Lorsqu'il se réveilla
, tout était redevenu normal comme si rien ne s'était
passer passé. Le manteau blanc qui
recouvrais recouvrait le sol avait disparu
, il ne restait plus que de la neige autour de lui… et cette peluche…
Esmerald attendit des semaines mais Yiona ne revint plus... La neige avais disparu et elle avec.
*cela Cela laissa un immense vide dans son cœur si gros.
Un jour il décida de prendre la route et se mit à marcher sans savoir ou il se dirigeait. Il arriva dans une forêt sombre
. A bout de force il s'écroula
, il voulu
t se laisser pour mort ainsi…
Un étrange rongeur vin
t a à son encontre et sans dire grand-chose l'invita chez lui
, une petite maisonnette dans la for
êt pas forcement caché
e mais pas mise
a l'avant en avant non plus. Esmerald se rendit vite compte que ce rongeur n'était pas comme les autres. Potions, fioles, livres
obsures obscurs, instruments magiques, et tant d'autres babioles en rapport avec la magie
parsemaient son antre (sinon ce n'est pas une phrase).
C'était Ce fut ainsi qu'Esmerald le Lutin rencontra le grand Mage Malefix.
Notre Lutin Il (sinon c'est trop lourd) était fasciné par la magie mais ne savait pas en faire. Il imagina
it tout tous les gens qu'il aurait pu rendre heureux si il savait en faire. Le Mage accepta de le prendre en apprenti
, ainsi au
file fil des semaines notre Lutin acquit plusieurs connaissances
ainsi quequelques tours qui le rendirent bien joyeux.
Proposition de reformulation de l'avant-dernière phrase qui n'est pas très bien tournée : Il pensa à tous les gens qu'il aurait pu rendre heureux s'il avait su en faire.2 Deux mois étaient passé
s Esmerald et pas un jour
se ne passait sans qu'il pense
a à sa belle Yiona
. Où était-elle
? Comment allait-elle ? Etait-elle encore en vie ? ...
Lors de ces
2 deux mois il avait
acquit acquis un tiers du savoir du grand Mage
; sa volonté de faire ensuite usage de cette magie pour rendre tout être heureux lui donnai
ent un
e force et une vitesse d'apprentissage inouïe. Le Mage souhaitait mettre au point un nouveau sort, mais pour
cella cela il lui fallait un cobaye, il demanda
donc à son apprenti. Esmerald ne fut pas très d'accord au début mais se
vu vit forcé d'accepter car le Mage avait
fait tant tant fait (ça sonne mieux, mais j'avoue que là, je chipote) pour lui.
Ils sortirent de la maisonnette
et le mage traça des symboles bizarre
s (synonyme : étranges) au sol, ce qui ne rassura pas
trop notre Lutin… Il reconnaissait certain
s de ces symboles qu'il avait
connu appris au cours de son apprentissage. Lorsqu'il voulu
t demandé demander au Mage celui-ci ne lui
répondait répondit pas
et car il disait des incantations. Esmerald commençait
a à avoir peur et comprit qu'il n'allait peut être pas s'en sortir vivant, mais il était bien trop tard
: les symboles et différents marquages que le mage avait fait au sol s'illuminaient en vert.
Esmerald ferma fortement les yeux, il senti
t son poil
s'hérisser se hérisser.
Proposition de reformulation de la troisième phrase : Lorsqu'il voulut demander au Mage ce que signifaient les autres symboles, celui-ci ne répondit pas et commença à marmonner des incantations.–zyouuum-
Lors de son réveil Esmerald senti
t un changement en lui. Il se leva et vit des lueurs vertes, elles venai
ent de lui. Il vit dans une flaque d'eau à coté que son beau pelage bleu que Yiona aimait tant était
devenue devenu vert. Un vert ensorcelant
et brillant. Le Mage lui expliqua que le sort
c'était s'était mal passé mais qu'il avait pu éviter le pire
. Il reparti
t plonger son museau dans ses grand
s livres. Peu lui importait comment allait Esmerald
a à vrai dire..
Esmerald était tellement attristé... il avait
perdue perdu ce que Yiona aimait en lui... il vit la peluche bleu
e qu'elle lui avait offert… ce
choque choc était dure fut dur pour lui… si un jour il la
recroiserais recroisait elle ne saurait même pas le reconnaître... Ses yeux s'humidifiaient. Il prit une sorte de capuchon noir pour
ce se couvrir
- il ne voulais pas que ces lueurs vertes lui attire
nt des ennuis
- et avec sa peluche s'en alla de chez le Mage.
Ainsi il décida de quitte
r cette maisonnette et le grand Mage sans même lui dire
adieux adieu. Il souhaitait ne plus jamais revenir ici…
Endroit En cet endroit qui l'avait sauvé mais en même temps maudit,
d'âpres d'après lui.
Il se mit donc en marche
a à nouveau. Plusieurs jours s'écoulèrent et il réussi
t enfin
a à trouver une sortie à cette forêt. Une grande et vaste plaine s'offrait
a à lui. Il se senti
t seul et ne pu
t s'empêcher
a de penser
a à Yiona… Le petit Lutin leva les yeux au ciel
, les ferma et dit quelques incantations. Il senti
t un petit point froid sur
ca sa truffe. En ouvrant les yeux il vit la neige
tombé tomber. De doux flocons tombai
ent par centaines du ciel et tombèrent au sol, créant ainsi petit a petit une
petite fine (sinon il y a répétition) couche de neige recouvrant
cette la plaine
. Ces flocons bien que
crée créés par lui, lui réchauffai
ent le cœur. C'était l'élément de la belle Yiona.
Proposition de reformulation de la huitième phrase pour éviter la répétition du verbe "tomber" : De doux flocons chutaient lentement par centaines du ciel et se déposèrent sur le sol, créant ainsi petit à petit une fine couche de neige recouvrant la plaine.Il prit la peluche et la ser
ra fort contre son cœur. Il prononça une petite incantation à voix très
très basse et une larme s'échappa de ses yeux
fermer fermés. Ainsi il fit apparaître une petite boîte avec une petite vitre en glace à l'avant d'
ou où l'on voyait Yiona. Pris
part par l'émotion
, les larmes se
misent mirent a à couler... Il n'émit aucun
sons son mais
, a à l'intérieur
, un grand trou le perçait…
Proposition de reformulation de la troisième phrase pour éviter la répétition de l'adjectif "petite" : Ainsi il fit apparaître une petite boîte avec à l'avant une vitre qui n'était pas de grande taille non plus, en glace, d'où l'on voyait Yiona.Il décida de rester dans ces plaines qu'il avait recouvert lui-même de neige, espérant qu'un jour Yiona réapparaisse...