Tout a commencé lorsque notre avion s'est écrasé sur cette maudite plage. A première vue, n'importe qui aurait pu penser qu'il s'agissait là d'un décors de carte postale, voir d'un endroit paradisiaque ou l'on aurait aimé prendre quelques vacances. Mais nous étions loin de ce qu'on pouvait voir dans ces séries et émissions de télé réalité, ou les gens se la coulent douce sous le soleil des tropiques… Alors que nous regardions le soleil disparaître, tout comme notre espoir de regagner la civilisation un jour, le vent se levait et ne laissait rien présager de bon. Quelque chose approchait. On ne savait pas qui, on ne savait pas quoi et encore moins ou... Mais nous le savions.
Je me retournais vers les palmiers de cendre, tronc gris, feuilles grise, noix qui tomber en poussière quand on les toucher… Je ne les voyait pas d’ici mais en visitant ils avaient trouver des rochers de lave alors qu’il n’y avait pas volcan sur l’île, ni à porter de vue. Tout cela disparue avec les dernier rayon de soleil, gris sur noir, il n’y avait plus rien a voir, pas même une étoile dans le ciel pour savoir on était le bas, ou était le haut. Je me raccrocher a la sensation de mes orteils dans mes chaussettes, une main rugueuse attrapa la mienne. Probablement le vieux viticulteur qui était a coté de moi, la toute petite voix du chat dans son panier se fit entendre.
Aucun de nous n’osez parler, « nous », les survivants, un viticulteur, un rugbyman, sa fille et son chat, une chauffeuse de poids lourds et son mari journaliste, une veille nourrices qui avaient le fémur gauche fracturer et moi, l’architecte. Des 550 passager de notre avion, c’était tous ceux qui rester. Les téléphones qui n’était pas casser n’avais plus de batterie et même avant aucun signal, aucun appelle de secours. Aucune eau douce, aucune montagne de la quelle voir les alentours, des restes de l’avion nous avions put tirer quelques canettes de soda, des petits bouteilles d’eau et quelques snack bourratif mais non nourrissant. Il n’avait vus un seul animal, ni aucune autre plante que ces palmiers, leurs nombres et leurs tailles avait crée une foret dense sans liane, sans fougère, sans rien…
Le chat s’agita dans son panier de transport, miaula, griffa, ça n’aurait put être que les conséquence de son enfermement, sa n’aurait dut être que ça. Mais les bruits de l’incarcération, ils les entendaient depuis plus de 10h. Ces bruits d’animal, seule animal de l’île les tendaient dans l’attente de savoir se qui aller se passer. Après une bonne minute ils le virent, de la lumière, faible, blafarde mais chaude, jaune, qui remonter du sol dans les troncs dont ils dessinaient le contours. Quand les nervures furent atteintes ils avaient recouvrés un semblent de visibilité. Distinguant a nouveaux le ciel et la terre ils se lâchèrent les mains. Le viticulteur, curieux des plantes voulut faire un pas vers les arbres mais une main puissante le retint et on distingua une tête allant de droite à gauche, « non », il valait mieux ne pas bouger, attendre de voir se qui aller se passer.
Les lueurs avait tourner a l’orange dans les troncs gris, le chat feula plus fort encore, le sable grouilla aux pieds des palmiers et des petites formes sombre sortir du sable. Sa ressemblais a des crabes mais ce n’était certainement ça qu’ils avait sous les yeux. Très petits, ils se déplacer en ligne droite, ils étaient trop loin pour voir les détails de leurs physionomie mais ils les virent se dirigeaient vers les tronc et ils entendirent le bruit de déchirure terrible, ils s’attendaient à voir le palmier s’écrouler mais rien du tout. Au lieu de ça, ils virent la sève, ou quoi que se soit, suinter et couler sur le dos des uns qui s’éloignaient, de celui-ci et ceux-là, coucher par terre et qu’ils recouvrir petit a petit de sève-lave et le troisième groupe racler le dos des premiers.