Je suis née quand les dinosaures ont quitté se monde. Où plutôt, j’ai été creusé à se moment là, par l’impacte d’une pierre loin au-dessus de moi qui a tapissé mon fond de ces roches bouillantes. Jusqu’au premier jour de pluies après ça.
Je me suis remplit, remplit, remplit et l’eau appelant l’eau, me suis remplit encore au point de me sentir m’affaisser et fait étrange, l’eau s’est infiltré en moi du bas et depuis je ne me suis plus jamais vidé.
Très vite les animaux qui avaient survécut sont venue boire en moi, le soleil à alimenté les bactéries et les algues apportées et mon eau est devenue toxique. Beaucoup d’animaux sont morts sur mes rives, qui grossissant toujours ont fini par engloutir leurs cadavres et leurs os. Puis une pousse plus épaisse que les autres est sortit de terre. Une simple prêle, puis une fleur, puis un jonc, puis un arbuste et enfin, un arbre, un vrais, un gros. Enfin… Pas au début. J’avoue, j’ai crus que se n’était qu’une verdure de plus mais il n’a pas fait de fleur et puis il s’est renforcé avec de la lignine mais sa forme était beaucoup moins panoramique que la petite Myrthe qui avait poussait plus loin sur moi. Enfin, enfin j’étais digne des arbres, les grands qui faisant de l’ombre et amener les oiseaux.
Bien sur après les unicellulaires extrémophile étaient arrivés les super éboueurs qui m’avaient dépolluer et les batraciens, ces survivalistes qui s’adaptaient à tout les milieux aquatiques. Quelques pluies de plus avaient amener des œufs de poissons et quelques crevettes microscopiques. Sa avait été la guerre un moment, les poissons avaient trop grossit, la portée d’après avaient donner déjà des plus petits et ainsi de suite. Chacun avait fini par trouver sa place entre mes pierres, les premières herbes et le reste. Il me fallut longtemps pour remarquer que moins d’eau m’arrivai du bas et puis sur mes rives je vis l’ombre des grand arbres pointés le bout de leurs têtes d’épines.
De semple-t-il très loin arrivé la forêt, qui bien sur ne fit que me dépasser, m’engloutissant tout entier dans ces limbes. Ma faune et ma flore habituer à plus de luminosité défaillirent. Certain s’adaptèrent assez vite pour survivre, d’autres furent remplacé par des habitants de la forêt.
Les arbres changèrent peu, les animaux beaucoup plus. Ils rétrécirent pour la plus part, perdirent des dents et des griffes pour des versions moins agressives. En dehors des poissons prisonniers de mes eaux tous les autres ne faisaient que passer. Ils buvaient, ils nageaient, restant quelques heures, quelques mois, avant de repartirent ailleurs. Derrière les arbres, ou loin au-dessus et le temps s’étira comme ça, seulement ponctuer par les pluies, le soleil et quelques incendies. J’aidais comme je pouvais, coupant la ligne des flammes par ma taille, offrant une végétation plus grasse, moins facile à brûler. Des fois ça suffisait, des fois non et la lumière plonger à nouveau plus profondément en moi. Puis la forêt repoussait, toujours, me recouvrant de son ombre presque entièrement. Les choses restèrent comme ça si longtemps que j’en oublié qu’elles pouvaient changé, qu’elles devaient changé, qu’elles finissaient toujours par changer.
Au début du changement, de drôle d’animaux sortirent de la forêt. Eux aussi vinrent boire à mes eaux. Les autres animaux et ceux-là semblaient s’évitaient, se fuirent et se chasser dans une danse différente des autres. Ils virent les mangeur de poissons sortirent ceux-là à l’aide de leurs grandes pattes et voulurent les imités. Un jour ils vinrent avec de grand objet qu’ils remplirent d’eau et partirent. Cela devint une habitude, de même que de venir me voir la nuit, ils regardaient les objets qui était sur moi et très loin au-dessus en même temps. La plus grosse et brillante ils l’appelèrent « lune » mais venir la nuit c’était être chassée et une guerre éclata. Entre ceux qui me volaient de l’eau et ceux qui grognaient, tous ceux qui grognaient. Qu’ils mangent de la viande ou du poissons ils furent tous chassaient par les voleurs qui ne gardèrent que les mangeur d’herbes près de moi. Dans le silence des nuits les plus noirs ou les plus froides, celles durant les quelles les voleurs ne venaient pas, je rassurais les autres animaux pour qu’ils viennent à nouveaux boire en moi.
Les choses commencèrent à dégénéré quand ils se mirent à tuer devant moi des mangeurs d’herbe et à versé en moi leurs eaux rouges, comme si cela pouvait compenser toutes l’eau bleue qu’ils me prenaient. Je redevint toxique, se dont ils m’accusèrent et ne revinrent plus pendant un moment.
Mais ils revinrent, au début pour regarder « lune », c’est là qu’ils eurent l’idée de m’appeler « lac ».
La guerre entre eux et les grogneurs reprit, longtemps et pour une raison qui m’échappe, ils les tuèrent en moi, je redevint toxique, encore. Se dont ils m’accusèrent, encore et repartirent, et revinrent. Cela dura un long moment mais leurs manièrent devenaient plus complexe, leurs regards sur « lune » et moi devinrent plus précis et pour je ne sais quel raison, ils associèrent la venue des grogneurs et des « phases de lune » si bien qu’ils finirent par m’appeler « Lac loup ».
Ils finirent par comprendre que les morts me rendaient toxiques alors ils vinrent retiré les corps comme les grogneurs le faisaient avant eux mais au lieu de les mangers, ils firent des trous dans la terre. Quel gâchis.
Le froid devint de plus en plus intense, chassant beaucoup d’animaux loin de moi, les incendies se firent plus rare mais plus violent. Je vis avec surprise les voleurs venir à moi plutôt que de fuirent les flammes. Ils remplirent de grands objets et me jetèrent sur les petites flammes et cela les fit disparaître ! Cela restait du vole mais cela aida la forêt à ne pas disparaître complètement.
Le temps passa, leurs habitudes changèrent encore souvent de plein de façon différentes. Contrairement aux autres animaux qui ne changeaient qu’à cas d’événement imprévus, ceux-là changeaient sans cesse, sans raison aucune. Les objets qu’ils remplissaient de mon eau grossirent puis au contraire, rapetissèrent. Beaucoup de jeunes moururent près de moi, certains ne furent trouvaient qu’après avoir été manger par les grogneurs alors on nous accusa tous les deux, après tout c’était aussi le nom que je portais. C’était eux qui l’avaient décidés seuls mais visiblement tout était logique. On me maudit, on se mit à raconté de bien triste histoire sur moi. Ceux qui venaient regardés toujours « lune », ils la pointaient elle puis les grand arbres et moi. Comme si nous étions lier par quelques choses.
Il eu un incendie de plus mais cette fois ils ne laissèrent pas la forêt repousser, ils choisirent eux-même quels arbres auraient le droit de poussaient. Ils leurs faisaient de drôle de chose aux arbres… Les grogneurs avaient finit par disparaître pour ne plus jamais revenir, je les soupçonner d’y être pour beaucoup. Comme ils n’avaient plus peur de la nuit certains revinrent me voir durant ce temps mais plus pour voir « lune » tout au plus ils la remercier d’avoir éclairé leurs chemin où de garder leurs secrets… Et moi, rien. Le temps passa, de moins en moins d’animaux venaient me voir, ne restaient que les voleurs.
Un jour ils cessèrent de me volaient et durant un cour instant ils m’oublièrent puis ils revinrent, comme toujours. Il me vidèrent de mes poissons, arrachèrent mes prêles et mes algues, me remplirent de produits qui changèrent ma couleur. Ils construisirent des objets des quels ils se jetèrent en moi comme certains gros poissons le faisait autre fois. Je ne comprenais plus rien. Ils venaient mais se n’était pas pour boire, ils faisaient seulement beaucoup de bruit avant de repartir.
C’est la période durant la quelle le hiver se firent de moins en moins long et de petits objets faisant autant de bruit que les voleurs se mirent a passer au dessus de moi. Il y eu un incendie, la forêt ne fut presque pas replanter, je voyais loin à travers les arbres et cela me rappela de bien mauvais souvenir quand j’étais jeune. Pourtant, même en se temps là mes rives et mes eaux abriter plus de vie qu’à ce moment là. Cela se détériora encore, on mit d’autres produits bizarre dans mes eaux. La très grande partit de mes petits unicellulaires se dissolvèrent.
Sans doute parce que privée de vie j’étais déjà à moitié mort je ne me rendit pas compte tout de suite que de moins en moins d’eau m’arrivai d’en bas. C’est l’or d’une pluie importante que je m’en aperçut. Cela faisait du bien d’être remplie à nouveau mais qu’avaient fait les voleurs ?
En regardant autour de moi je vis les grands arbres souffrirent, à eux aussi l’eau manquait…
Qu’avaient fait les voleurs ?
Un incendie de plus mais cette fois on ne replanta aucun arbre, on arracha ceux qui sortirent de terre, on mit une matière bizarre tout autour de moi et on me remplit d’eau. Les étés plus chaud me vidèrent successivement et je voyais venir le jour où l’on me ferais le même coup qu’aux arbres.
Les voleurs revinrent retirer les quelques gouttes qui me restaient, puis ils se sont mit à creusé, ils ont pris tous les os, tous les cadavres que j’avais engloutit au fils du temps. Ils en ont jetaient certain, en on gardaient d’autres, les plus vieux surtout et même quelques pierres qui restaient de ma création.
Le dernier jour arriva finalement beaucoup trop vite et sans raison apparente, comme toujours avec les voleurs…
Ils sont entrain de me remplirent de terre et tout plein d’autres choses que je n’identifie pas.
Je comprend se qu’on ressentit les dinosaures en me voyant.
Je ne te vois déjà plus.
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